Vers la sobriété heureuse correspond à ma façon de voir la société de consommation et la vie depuis quelques années. Le livre de Pierre Rabhi trouve donc écho chez moi mais l’accès à ses idées est parfois difficile par le langage (il m’a fallu parfois le dictionnaire pour décrypter) mais il reste malgré tout accessible.
Nous voulons tout, nous consommons à outrance, un jour il n’y aura plus assez pour tout le monde, nous gaspillons ce que d’autre voudrait avoir au minimum. Pourquoi les choses ne changent pas plus vite. Nous progressons mais il nous reste tellement à faire.
L’espoir fait vivre, je veux croire que les mentalités peuvent changer mais la Société de consommation a un tel poids et les gens sont tellement avides de posséder alors que pour moi le fait d’avoir que ce qui m’est nécessaire, utile m’allège ma vie et mon porte-monnaie (ce qui n’est pas négligeable).
Ciao