Confessions d’un gang de filles de Joyce Carol Oates

CONFESSIONS D'UN GANG DE FILLES

Résumé

Un quartier populaire d’une petite ville de l’État de New York, les années 1950.
Cinq lycéennes, pour survivre et se venger de toutes les humiliations qu’elles ont subies, concluent un pacte, à la vie, à la mort : elles seront le gang Foxfire. « Foxfire » désigne les jolies filles, mais également le feu follet. La haine, et surtout celle des hommes, va les entraîner dans une impitoyable équipée sauvage. Après un séjour en maison de correction, legs, leur chef adulée, revient avec un rêve : pouvoir habiter, toutes ensemble, dans une ferme, et vivre selon leurs propres lois.
Mais leur sulfureuse réputation leur créera plus d’un ennemi. Vols de voitures, menaces à main armée, entôlage et, pour finir, kidnapping… Tout cela finira très mal. Dans une langue crue, précise et concrète, Joyce Carol Oates dépeint la « fureur de vivre » des cinq inséparables et leurs accès de générosité envers d’autres déshérités. Comme toujours chez l’auteur de Eux et de Blonde, le Mal est d’autant plus vraisemblable qu’il nous

OATES

L’auteure

Joyce Carol Oates née le 16/06/1938 aux Etats Unis, est une poétesse, romancière, nouvelliste, dramaturge et essayiste.
Très tôt, elle s’intéresse à la lecture, notamment au livre de Lewis Caroll, « Alice aux pays des merveilles », que lui a offert sa grand-mère et dont elle dira qu’il fut sa plus grande influence littéraire.
À l’adolescence Joyce découvre les écrits de Faulkner, Dostoïevski, Thoreau, Hemingway, Charlotte et Emily Brontë, qui l’influenceront beaucoup par la suite.
Joyce Carol Oates a commencé à écrire dès l’âge de quatorze ans.
Depuis 1964, elle publie des romans, des essais, des nouvelles et de la poésie. Au total plus de soixante-dix titres. Elle a aussi écrit plusieurs romans policiers sous les pseudonymes de Rosamond Smith et de Lauren Kelly. Elle s’intéresse aussi à la boxe.
Son roman « Blonde » inspiré de la vie de Marilyn Monroe est publié pratiquement dans le monde entier et lui a valu les éloges unanimes de la critique internationale. Au-delà de l’exploration d’un mythe américain, c’est la question de l’identité que l’écrivain cherche à percer, elle qui entrevoit dans l’icône d’Hollywood le portrait en filigrane de sa propre mère décédée très tôt, une figure également présente dans le roman « Mère disparue ».
Elle décroche un poste de professeur en création littéraire à l’Université de Princeton, au New Jersey. Elle enseigne dans cette institution jusqu’en 2014. Son mari, Raymond Smith, mort en février 2008, dirigeait une revue littéraire, l’Ontario Review.

Mon avis

Je n’aime pas abandonner un livre, je culpabilise, me pose des questions : pourquoi ? Pourquoi je n’accroche pas : l’histoire, l’écriture, le style, parfois la traduction (et là je dois avouer que par moment je ne sais pas si cela vient du style ou de la traduction, mais la lecture était ardue car plusieurs retours en arrière pour comprendre le sens de la phrase etc…) mais j’ai beaucoup de mal à m’intéresser à l’histoire de Legs et de ses comparses. Même si la montée en puissance du gang, ses origines, la fraternité des différents membres oui tout cela est intéressant mais peut être parce que je suis loin de cette génération ou peut être au contraire je constate que j’ai beaucoup de mal actuellement avec tout ce qui traite de violence (films, documentaires, récits, etc….). Je me sens comme à côté du récit et je lis pour lire mais sans participation de ma part, sans envie d’en savoir plus donc à la page 176 je me suis dit que j’avais tellement d’autres livres qui m’attendaient, qui m’attiraient que je l’ai lâché. Peut être un jour le reprendrais-je…… Qui sait cela m’a déjà arrivé et avec la surprise de découvrir le livre passionnant. Le livre est une rencontre, à un moment ou un endroit  de notre vie.

Ma note : *

Ciao

3 réflexions sur “Confessions d’un gang de filles de Joyce Carol Oates

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